Si les hommes sont à même de concevoir un enfant à tout moment de leur vie, contrairement aux femmes qui sont, elles, soumises à la ménopause, la fertilité masculine, au même titre que la fertilité féminine, est amenée à décliner avec l’âge. Voyons à partir de quand les chances de concevoir tendent à diminuer sensiblement.
Fertilité féminine: 30 ans, âge charnière
En 1970, les femmes déclaraient en moyenne leurs premières grossesses aux alentours de 24 ans. Aujourd’hui, en l’espace de moins de 50 ans, donc, cette même moyenne a été repoussée de 4,5 années. Si les motivations de ces femmes sont louables (l’entreprise de plus longues études, l’envie de s’assurer une stabilité financière et professionnelle, etc.), le constat n’est toutefois pas sans conséquences…
En effet, le facteur de l’âge est, chez la femme, on le sait, déterminant. De nombreuses études s’accordent d’ailleurs à dire qu’au-delà de 30 ans, les chances de parvenir à concevoir un enfant dans l’année chutent drastiquement de 25%. Passé 35 ans, ce pourcentage tombe à 34 contre 56 à 40 ans.
Si la fertilité féminine évolue avec l’âge, le risque de complications également… Si accoucher passé 30 n’est pas systématiquement synonyme de grossesse à risques, on vous rassure, ils sont toutefois plus fréquents.
Fertilité masculine: un faible déclin dès 24 ans
Et l’homme dans tout ça? Le nombre des spermatozoïdes n’est pas délimité, contrairement aux ovules, mais, avec le temps, la mobilité et la qualité de ces derniers tend toutefois à décliner.
Bien qu’elle ne soit nullement comparable à la ménopause, l’horloge biologique masculine semble toutefois se mettre en route dès le passage de la 24ème à la 25ème année.
La science pour y faire face
Heureusement pour les ménages, la science avance au même rythme que l’âge du premier bébé recule. Ainsi, de nombreuses solutions ont d’ores et déjà pu être trouvées afin de contrer ces effets du temps. Les compléments alimentaires contre la fertilité masculine ou féminine, se révèlent, par exemple, un excellent moyen de substituer à nos jeunes années.
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