On voit de plus en plus fleurir une multiplicité de fabulations concernant la cigarette électronique. Ce qui provient indiscutablement de la modernité de cet article.
Parmi tous ces mensonges nous en avons sélectionné les plus communs que nous vous énonçons dans les sections ci-dessous.
Idée Reçue 1 : la cigarette électronique correspond à une menace en direction des enfants.
Ce mythe dérive de l’illusion selon laquelle les enfants sont d’instinct portés sur les appareils électroniques et , qu’il leur est de plus, volontiers possible de s’acheter des clopes électriques via internet.
Plusieurs études ont dévoilé que ces allégations étaient intégralement erronées.
En effet, même si la clope électronique est disponible ad libitum en ligne, il reste cependant tout aussi vrai que pour en acheter on doit disposer d’une carte bleu.
De plus, le montant d’achat ordinaire de la clope électronique (même s’il est rentable à long terme), reste malgré tout relativement inabordable pour l’acheteur moyen.
Par surcroît les ados ont une certaine tendance à regarder la cigarette électronique comme un artifice que les vieux employaient dans le but d’arrêter la cigarette. Ce qui incontestablement est totalement contradictoire avec les raisons poussant les ados à fumer. En effet, Couramment, les deux éléments les plus importants qui les motivent à fumer sont d’abord l’ivresse de l’insubordination et la tentation du danger.
Objectivement, moult études ont témoigné que la plupart des usagers de la clope électronique se ont entre 40 et 50 ans.
Idée Reçue 2 : Les clopes électroniques sont tout cancérogènes et dommageables pour la santé que les clopes classiques.
Au début du mois de Novembre 2013, une fumeuse étude du mensuel 60 millions de consommateurs, se posant à rebours de quasiment la totalité des études antécédentes, a créé un monstrueux buzz, en allégeant » la cigarette électronique pouvait rejeter des composés qui en dose significative sont possiblement cancérogéniques ».
D’un angle méthodologique, a éveillé plusieurs controverses.
Et pour cause elle reste assez peu précise particulièrement au niveau de la collecte et de la quantification des données.
De plus les corpuscules ciblés (l’aldéhyde formique, l’acétaldéhyde et l’aldéhyde acrylique) sont tout aussi présentes dans la cigarette classique à des niveaux beaucoup plus préjudiciables.
Et au demeurant le responsable de l’étude en controverse, Thomas Laurenceau a fini de consentir que « Oui, oui, mille fois oui, il vaut mieux vapoter que fumer une cigarette ».
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